The Cure Remastered Part 2 (cd)
Enfin la prochaine vague des ré-éditions des albums de The Cure est due pour le mois d’août. Après les quatre premiers albums, sortis en avril 2005, ils passent, naturellement, aux quatre suivant; le projet The Glove et l'album Blue Sunshine (1983), The Top (1984), The Head On The Door (1985) et Kiss Me Kiss Me Kiss Me (1987). Tout comme la première vague un double CD contenant l’album original remasterisé, un second de raretés et un livret d’une vingtaine de pages. J’attends avec impatience, particulièrement The Head On The Door, mon album préféré, d’un de mes groupes préférés.
Kendra Morris @ The Living Room Lounge (NYC)
Kendra Morris | ? | ?
Saturday June 24th 2006 | The Living Room Lounge (NYC)
(warning : bad english)
My buddy and I we’re lost, delirious and drunk in Brooklyn. Looking for a place that we didn’t know we’re to found. By some kind of miraculous turn of faith we finally arrive at the Living Room Lounge in park slope.
The place was really great, large space with a lot of sofa. After my mandatory beer I was ready to hear miss Morris. We were just in time, there she was, all alone with her guitar, standing in front of a giant ghetto blaster that she use as an amp. Out of this tiny woman came out a amazingly soul’ish voice and an indie rock guitar sound. She played a short set, five or six song if I remember correctly, and the crowd loved her. Her songs are mostly about the ultimate topic; relationships and their never-ending stories of good and bad turn point. However they don’t follow the typical verse-chorus-verse scheme and are a bit more experimental in their structure. Witch is not necessarily a bad thing.
The band that follow was technically good, sounding a bit like Mogwai, but I was falling asleep on the comfy sofa. Ruff day I had. Waking up a bit when my beer was pouring into the chair. I finally come to my senses at the end of their set and we decide to get the hell out of there as another girl was tuning up her gear. If you are in New York, go see this girl play, she’s good and a marvelous person too.
Pix: My godam battery we're dead so here is one great shot by Jake Bronstein.
Indochine @ Metropolis
Indochine
Samedi 17 juin 2006 | Métropolis
*à venir*
Dunkerque / Les Portes du Soir / Alice & June / Marilyn / Adora / Punker / Gang Bang / Ladyboy / J’ai Demandé à la Lune / Morphine / June / Trois Nuits Par Semaine + Miss Paramout + Monte Cristo + Stef II + Astroboy // La Chevauchée des Champs de Blé / Salombo / La Colline des Roses / Punishment Park / Pink Water 3 / L’Aventurier /// Talulla
Le rock cliché #5.
Frank Black (Pixies)
Dionysos @ La Zone Molson Dry (Francofolies)
Dionysos
Jeudi 15 juin 2006 | La Zone Molson Dry
Je ne connais pas Dionysos, si ce n’est que de nom et que paraît-il, ils sont malade en show. Je me pointe, ma bicyclette mourante, juste pour voir les dernières trente minutes du spectacle. Ils sont six membres, en noir, sur scène et à part le classique trio du rock; guitare, batterie et basse, plusieurs autres instruments sont au menu; violon, contrebasse, ukulélé, égoïne, banjo, slide guitar, theremin, séquenceurs et keybords. Malgré la panoplie instrumentale, leur son donne dans le rock, lourd et pesant, métalleux presque. On perçoit mal les instruments, mis à part le drum et la guitare, c’est plutôt un brouillon sonore qui sort des enceintes et je ne comprends pas vraiment ce que Mathias chante. La voix de sa violoncelliste est comme celle d’une sirène. Pour être énergique, ils le sont, tous, particulièrement le chanteur, qui ne peut se contenir d’être hyper actif sur la scène. Il va même jusqu’à non seulement nager sur la foule, mais se ternir debout dans la foule. J’ai tellement eu un flash de Paul Stanley époque Crazy Night. Il défie même la rigueur de l’horaire des Francofolies et vient faire un rappel, acapella, sans micro et ça marche fort avec la foule, qu’il a eu dans sa poche tout le long du spectacle. C’est normal, il n’y a rien de mieux qu’un chanteur qui veut qu’on crie tous ensemble; ta gueule le chat. J’irai probablement pas m’acheter l’album, mais leur performance fut fort énergique et puissante.
Katerine @ Spectrum (Francofolies)
Katerine
Jeudi 15 juin 2006 | Spectrum
Je me permets une intrusion dans le domaine du rockeur saoul pour vous dire quelques mots sur le concert de Katerine auquel j'ai pu assisté grâce à la générosité de l'auteur de ce blog. Comme le spectacle affichait complet et que je suis arrivée à la dernière minute, je n'ai pas réussi à me rendre jusqu'en avant pour le voir de près, mais sa flamboyante présence me fit vite oublié mon éloignement et ma petitesse.
Les arrangement musicaux conçus spécialement pour le concert m'ont emballé sur le champ. La version de Marine Le Pen valait à elle seule le déplacement. Je fus même étonnée qu'il arrive à rendre si bien live une chanson aussi déstabilisante sans que qu'elle ne perde aucunement de sa clarté et de son étrangeté.Katerine sans être trop bavard a vite établi un dialogue sympatique avec le public, en évoquant entre autres ses nouvelles connaissances de l'idiome québécois (chicaner, flyé). Lors de la plus connue "Je vous emmerde", à sa demande, une fille est allée le rejoindre pour danser avec lui. J'ai bien rigolé quand j'ai vu l'ex-Secrétaire Volantes, Pâquerette Cocktail monter sur le stage. Elle a admirablement accompagné Katerine le temps d'une danse tout en lui envoyant quelques "Je vous emmerde" dans un québécois bien nasillard!
Ce concert m'a permis de constater que Katerine est plus qu'un cérébral branché qui manie bien les mots. Vêtu d'un chemisier rose et d'un pantalon vert coupe comptable, les cheveux mi-longs coiffés d'une barrette de fillette, il a livré une prestation fluide, dynamique et subtile, d'une élégante finesse s'alliant parfaitement avec sa façon de chanter. Si sa façon de décrire la vie est souvent celle d'un nerd coincé, angoissé mais candide, sa présence sur scène nous montre qu'il n'est pas moins une véritable bête de scène qui sait faire plaisir au public tout en se faisant plaisir.
Sans trop se faire prier, il a livré 3 rappels avec changements de costumes avant de laisser le public sur "Luxor, j'adore" même s'il l'avait déjà interprétée plus tôt. Personnellement, j'aurais préféré qu'il joue autre chose, même s'il s'agit d'un bel acte de générosité de sa part qui aura fait plaisir à toutes ces personnes venues spécialement pour entendre ce hit.
Well done Katerine
Anik Jean @ La Zone Molson Dry (Francofolies)
Anik Jean
Mardi 13 juin 2006 | La Zone Molson Dry
*à venir*
Tendre Sorcière / Pense À Toi / Confession / (nouvelle) / Amour Absinthe / Je Suis Partie / Homewrecker / Trashy Saloon / Junkie De Toi / Non / La Haine
Call Me Poupé @ La Zone Molson Dry (Francofolies)
Call Me Poupée
Dimanche 11 juin 2006 | La Zone Molson Dry
*à venir*
El Motor @ La Zone Molson Dry (Francofolies)
El Motor
Dimanche 11 juin 2006 | La Zone Molson Dry
*à venir*
Aut'chose @ Spectrum (Francofolies)
Aut'chose
Dimanche 11 juin 2006 | Spectrum
*à venir*
Jimi Hunt @ L'Escogriffe
Jimmy Hunt | Sweetheart Sebastien | Pornorobo
Vendredi 09 juin 2006 | L'Escogriffe
*à venir*
Photo: Méliza Ash
Prototypes @ La Zone Molson Dry (Francofolies)
Prototypes
Vendredi 09 juin 2006 | La Zone Molson Dry
Après avoir vaqué à mes obligations, j’arrive sur le tard dans la zone où la bière que je vais prendre est Dry. Prototypes est en pleins dans un mode rock, d’ailleurs la chanteuse a mis son cuir, vêtement officiel de toute rockeuse qui se respecte. La foule est assez grande, malgré la température pluvieuse. Je rejoins le Brutalll côté jardin à l’avant. On s’amuse bien, le band semble en forme. Ce soir, ils ont un batteur québécois pour l’occasion, dû au fait que leur batteur n’a pas pus se présenter dans notre beau pays, c’est Alex ‘Nucléaire’ Brassard (Les Psycho Riders) qui le remplace. Je ne suis pas familier avec le matériel que joue les Prototypes et ça ne me préoccupe pas trop. J’ai jamais vraiment tripper sur eux en concert, leur ayant donné plusieurs chances, ce soir ils sont bien. Danse Sur La Merde se transforme, pour nous public, en danse sur la bouette dans cette litière géante qu’est la Zone Dry.
Photo: Méliza Ash
Nitrosonique @ La Zone Molson Dry (Francofolies)
Nitrosonique
Vendredi 09 juin 2006 | La Zone Molson Dry
En sortant du Spectrum on échange un peu avec de connaissances et amis et on se dirige vers la Zone Molson Dry. On arrive alors que Nitrosonique entame Sans Elle, on aura le temps d’en entendre 3 autres. Ils nous garoche leur rock assez pesant sur la greule pendant que dame nature nous crache gentiment au visage. La foule était assez hétéroclite, Franco oblige, et j’ai même vu des pancartes dont une ‘I *heart* Rémi’ (le guitariste/chanteur). Étonnamment le C.R.A.Z.Y. drummeur, comme l’on surnommé certains, ne semble pas être le centre de dévotion de ces fans particuliers. Leur prestation semblait solide pour ce que j’ai pu en entendre, le temps de boire une bière (c’est assez courts dans mon cas, surtout après m’être lancé au Breast.). Tiens, si ce n’est pas Anik Jean à mes côtés; beau soulier jaune chère. Faut que je me pousse pour des raisons ‘professionnelle’, je reviendrais plus tard rejoindre le Brutalll.
Les Breastfeeders @ Spectrum (Francofolies)
Les Breastfeeders
Vendredi 09 juin 2006 | Spectrum
En entrant dans le Spectrum on est accueilli par Aut’chose en fond sonore et ils nous le serviront aussi pendant qu’on quitte à la fin du spectacle. J’étais prêt à me faire nourrir au sein et donc bien content de renouer avec les Breastfeeder qui ont débuté en trombe avec des nouvelles chansons. Ces chansons vont se retrouver sur leur prochain album Les Matins de Grands Soir qui devait sortir aujourd’hui mais dû à certaines complications sera reporter au 15 août. Malgré tout, ils nous sortent un bon vieux single; Tout Va Pour Le Mieux Dans Le Pire Des Mondes, avec en face B une reprise française d’un band d’Outremont qui le chantait en anglais dans le temps; Nice Try des Sinners devient Pousse-Toi. Les Breastfeeders sont en forme, ça faisait plusieurs mois qu’ils n’avaient pas joués à Montréal et la place était bondée quoiqu’il était inhabituellement tôt pour un de leur show. Fred Fortin, tiens encore la batterie et Luc nous laisse savoir que ça fait plus d’un an qu’il est à ce poste et qu’il pourrait bien y rester. Ils sont également appuyés, parfois, par Karine Isabelle (Comme Un Homme Libre) au chœur et Nicky Vox (Les Séquelles) au keybord. Après être resté plutôt discret, à l’arrière de la passerelle, dès la deuxième chanson Johnny, yeux noirs et truc poilu qui lui fait des bras de gorille, nous offre ce qu’il sait le mieux faire; du délire. Il se pitche partout, cours d’un bord à l’autre en frappant incessamment sur sa tambourine, il fait un tour dans le public et finis en sortant sa graine pour faire tournoyer sa tambourine. Suzie, tout le contraire, en grâce et en sourire, avec sa robe noire agrémentée de fleur, ses bottes blanches et sa strap de guitare léopard nous donne quelques nouveaux morceaux de son cru; elle n’est pas une fille sans saveur, elle nous entretient de funiculaires, ainsi que son cover de Lio. Dommage qu’on entende plutôt mal sa voix sublime dût au son qui laisse à désirer. Bien que Joe est des ressemblances à un Kurt Cobain, il est loin d’être mort sur un stage. Sunny, fais ce qu’il sait faire de mieux, c’est-à-dire être un guitariste héros, il a même un strap de guitare qui est une chaîne tellement il rock. Luc est toujours autant en cris, vocabulaire articulé et en interventions colorées comme lorsque sa bière coule de broue partout, il nous rappelle que ce n’est pas un lancement d’album mais une éjaculation d’album. Un album que si devrait être plus rock si on se fit aux nouvelles pièces. D’ailleurs, pour être fidèle au traditionnel lancement d’album, Luc s’exécute et envois quelque projectile à la foule, Séba brutalllise une jeune fille pour se procurer le cd. Brutalité qui était présente à l’avant du stage, alors que le mosh pit et le body surfing s’est fait assez présent, ce que je pourrais allègrement me passer. C’est bien agréable de recevoir une jeune fille par la tête, mais un tarla trop saoul de plus de six pieds qui te bouscule sans cesse, je passe mon tour. Il y avait même un type qui semblait se faire un honneur de déverser/cracher sa bière sur Maldoror au lieu de dans son propre gosier. Quel gaspillage.
(nouvelle) / (nouvelle) / J’pourrais Pas Vivre Avec Toi / ?Fille Sans Saveur (nouvelle) / Angle Mort / (nouvelle) / (nouvelle) / Mini-Jupe Et Watusi / ?Funiculaire (nouvelle) / Ça Ira / Amoureux Solitaires / (nouvelle) / Vanille Ou Fraise Dans La Steppe / (nouvelle) / Pousse-Toi (nouvelle) // Ostrogoth-À-Gogo / Y’a Rien À Faire /// Misérat
Le rock cliché #4.
Sid Vicious (Sex Pistols) (1978, New York) par NYCPD.
Les Temps Liquides @ Zoobizarre
Les Temps Liquides
Jeudi 08 juin 2006 | Zoobizarre
On arrive dans la grotte vers le milieu/fin du set des Temps Liquides, manquant par le fait même la mystérieuse première partie au maximum. Il n’y a pas foule, mais je peux pratiquement vous donner le prénom de toutes les personnes présente; Gabrielle, Isabelle, Evelyne, Annie, Isabelle (une autre), Frédéric, Alexandre, Gabrielle (pas la même), François-Xavier, Jocelyn, Natalie, Stéphane, Maxime, Audrey, Olivier, Magalie, Christine, Guillaume, Maryse … bon ok j’arrête ce name dropping, mais ajoutez une ou deux douzaines d’autres prénoms de plus, sans oublier les deux Eric et le compte y est. Ça fait tellement de salutations, qu’avec le passage obligé au bar pour la pinte, j’ai presque pas le temps d’écouter le band. Mais Frank prend le temps, entre deux tounes, de dire que je mets tout le temps le même chandail. Il n’a pas tord et est sûrement jaloux (t’entend Frank! - Jaloux) des Duchess Says. Les Temps Liquides continue de déverser leur rock broche à foin sur cette foule, principalement composée d’amis, de fans et d’évadés de l'hôpital psychiatrique. D’ailleurs les spéciaux de la pharmacie défile sur un écran illuminé côté jardin. Ce soir est aussi la première de leur nouveau membre (ancienne Famulous), la reine de la botche; Abdullah ou je ne sais trop quel nom cette Vilaine s'est affublée. Faisant du mieux qu’elle peut avec ce qu’elle a, c’est-à-dire quelques objets contondants, une voix douteuse et une répartie assassine. Je l’aime bien mieux que l’ancienne chanteuse, certains diront que je ne suis pas objectif et ils ont bien raison. Après avoir remarqué que chaque membre arbore un gros macaron pour un célèbre duo; Pepsi et Joe Louis pour 0,99$, le show est terminé. Ça passe vite quand on s’amuse. Juste le temps d’avoir une coupure d’électricité et on est partie pour finir la virée dans une taverne pas de classe. J’ai encore réussi à ne pas m’acheter l’album, on dirait que mon cœur dit oui, mais mon portefeuille répond bière.
Fait un Yeahs de toi même.
Les Yeah Yeah Yeahs planifient un de leur porchain vidéoclip et ils vous veulent vous! Ça risque d'être lo-fi. En plus c'est ma chanson préféré de l'album.
Do the Nick
Do the Brian
Do the Karen O.
Plus d'info ici.
Deadline: 12 juin.
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Yeah Yeah Yeahs - Cheated Hearts
Le futur(eheads) est là.
Enfin, en ce jour démoniaque, j’entre dans le HMV et dans le présentoir des nouveautés, il y est et trône victorieusement dans le haut du rack; le dernier Futureheads. Ma caissière, une fausse blonde punkette/emo/truc muche se permet des recommandations :
-Tu ne prends pas le dernier AFI.
-Bof, j’suis pas vraiment fan.
-Mais il est bon.
-On verra une prochaine fois.
J’ai-tu l’air d’un emo tant que ça? J'ai-tu le feu à l'intérieur? J’avoue que si je me laisserai tenter par un disque du type je me procurais le dernier Fall Out Boy, band pour lequel j’ai un petit faible. Sinon, si j’ai envie t’entendre du AFI, j’ouvre M+ à l’heure du top 5 anglo où je me lime wire ça. D’ailleurs, c’est justement ça qui blaste dans les speakers de la place. Je peux même dire que c’est Miss Murder, le single, maudit sois-je.
EDIT:
Parlant EMO, je suis tombé sur ça en surfant le net ce soir. Trop drôle.
Le jour de la bête.
Au secondaire un de mes bands préférés était Iron Maiden. J'ai usé à la corde ma cassette de l'album The Number Of The Beast. Aujourd'hui, la prophétie se réalise:
"Woe to you, Oh Earth and Sea, for the Devil sends the beast with wrath, because he knows the time is short...
Let him who hath understanding reckon the number of the beast for it is a human number, its number is Six hundred and sixty six."
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Iron Maiden - The Number Of The Beast
*Le défi diabolique est de la faire jouer 666 fois aujourd'hui.*
Chinatown @ Le Cheval Blanc
Chinatown | Pierre-André Côté
Lundi 05 juin 2005 | Le Cheval Blanc
Mc Brutalll se pointe chez moi avec la bonne idée d’aller prendre quelques pintes dans son bar de prédilection. Il m’informe que ce soir il y a un groupe un peu à la Belle & Sebastian qui jouera. Pourquoi pas, du rock doux et du houblon, excellente combinaison.
On arrive alors que Pierre-André Côté gratte sa guitare et chante, je ne sais trop quoi. On s’installe au bar. Côté ne m’interpelle pas vraiment et je préfère ma discussion avec Brutalll et les quelques connaissances présente que ses méandres musicaux. On réalise que tout le monde semble connaître Felix, un des membre de Chinatown, je ne sais pas vraiment lequel, d’où la pseudo effervescence qui règne dans la place. Parait-il que le groupe flirte avec le palmarès de CISM. *(Notez, juste en dessous d'eux, en quatrième position, mon compagnon de boisson avec le Poirier)*
Chinatow est composé d’un claviériste, d’un guitariste, d’un bassiste et d’une fille qui joue de la clarinette, ils semblent tous faire un tour au chant à part le bassiste. Le groupe débute en se faisant accompagné de projection qui semble impressionner ma voisine de gauche, mais que je trouve somme toute assez insignifiante (la voisine et la projection). Elle est accompagnée d’un groupe d’amie, que je qualifierais de cégépienne ou universitaire, je ne sais trop, si ce n’est qu’elles sont relativement jeunes. Une d’elles réussira même à me renverser sa pinte sur les genoux. Plaisant! Parmis elle, une qui attire mon attention et que je ne sais pas trop pourquoi me fait penser à Alice au Pays des Merveilles. Elle n’as pas les cheveux blonds et ne portait pas de robe bleue, mais elle a un je-ne-sais-quoi de féerique. Sans même en parler à mon compatriote, il en vient à la même conclusion. Magique! Ah oui, on était là pour écouter un band, ben finalement ça m’a pas vraiment touché, c’étais plutôt long, trop de toune, pas assez de mélodie, une chanteuse qui se la joue un peu à la française. Pas grave, contrairement à tout le bar je connais pas Felix alors je n’ai pas besoin d’aller lui parler. N'est pas Belle & Sebastian qui veut, quoique la comparaison est fort douteuse, finalement.
Ce fut une soirée fort agréable à discuter longuement, pintes en mains, de tout et de rien de particulier avec mon bon pote et finir ça autour d’un cocktail avec une Pâquerette.
The Organ – Let The Bells Ring (clip)
Ça fesait un petit bout que je n’avais pas entendus parler des filles de The Organ. C’est venu sous la forme d’un vidéoclip d’une chanson qu’elles semblent avoir sorti l’été passé et qui sera probablement sur leur prochain album qu’elles enregistrent présentement. Jaime beaucoup le travail graphique qu’en à fait la réalisatrice française Valérie Toumayan. J’aurai bien aimé avoir les filles au moues boudeuse jouer dans un de mes cahiers Canada au secondaire comme dans ce clip.
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Vidéoclip.
Le rock cliché #3.
Foule des The Dandy Warhols (11 juillet 2005, The Annandale, Sydney, Australie) par Daniel Boud.
Pony Up - Make Love To The Judges With Your Eyes (CD)
Le premier album complet des Pony Up s’avère une belle amélioration face à leur EP éponyme de 2002. On à ici moins à faire avec un groupe de jeune filles en fleurs, mais bien des jeunes femmes, maintenant, car oui, elles seront éternellement perçues comme un band de filles. D’ailleurs, en plus de perdre leur point d’exclamation, elles sont désormais un quatuor. On leur reprochait aussi de ne pas savoir jouer de leur instrument, elles ne sont certes pas devenues des virtuoses, mais la maîtrise de leur instrument semble acquise. Leurs ritournelles reste dans le pop, mais s’avèrent plus mélancoliques en générales. Au niveau des paroles, qui sont un peu sur le mode des confidences, une maturité semble avoir pris le dessus. Leur thématique de prédilection demeure les affres de l’amour. À mon grand plaisir, la voix énigmatique de Sara Moundroukas se fait beaucoup plus présente et couvre une bonne part de la galette. Les charmantes harmonies vocales, de tous les membres, sont parsemées sur le disque et s'avère d'une efficacité redoutable. Musicalement la guitare et le clavier se courtisent mélodieusement alors que la basse et la batterie les supportent bien. Les garçons vont sûrement discuter sur laquelle ils veulent se faire, moi j’ai déjà la mienne en tête.
Mes préférées : The Truth About Cats And Dogs (Is That They Die), Possible Harm, Pastime Endeavour, Only Feelgood, What’s Free Is Yours.
Date sortie : 09 mai 2006
Label : Dim Mak
