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mardi, février 28, 2006

The Snitches @ La Sala Rossa

The Snitches | ? | Dj Champion
Mardi 28 février 2006 | La Sala Rossa

Depuis la sortie de leur dernier album Black Book, en septembre dernier, Les Snitches n’avait pas encore fait de spectacle! J’imagine que ce soir était un espèce de lancement d’album, 5 mois plus tard.

J’arrive alors qu’ils montent sur scène pour donner un bonne mais courte prestation, 30-45 minutes, pas de rappel, devant une sale pas très pleine. Déception. Scott Moodie ne déçoit pas par exemple, en feu le monsieur. Il saute partout, raconte des anecdotes amusantes, danse en malade, se tape la tambourine dans le front et autres activités rockstaresque. Il est visiblement content de refouler les planches et nous le laisse savoir. J’imagine comment pouvait être délirant leurs show de loft dans le temps, dommage que j’en ai pas vu. Ces comparses sont un peu moins enthousiasme, mais performe solidement tout de même. Le punk-rock avec des touches pop des Snitches est efficace et bien servis en spectacle. Je sais pas si c’est juste moi, mais je trouve que Mike Webber à du Danny Elfman, circa Oingo Boingo, en lui. Je peux pas trop dire c’est quoi; le look, la démarche, la voix, les expressions, la manière de chanter, sûrement un amalgame de tout ça. C’est définitivement un compliment, je suis un gros fan de Elfman. Ils termine ça avec la chanson de la pub de bière et/ou vêtement, qui paraît-il n’a pas beaucoup rapporté monétairement nous annonce Scott. Dret devant mes yeux!

Ensuite Champion fait tourner de record electro et je quitte après 2-3 tounes pour rentrer sagement chez moi. Je me suis juste pris 2 bières.

jeudi, février 23, 2006

Yann Perreau @ Spectrum

Yann Perreau | Damien Robitaille
Jeudi 23 février 2006 | Spectrum

La dernière fois que j’ai vu Perreau c’étais au lancement de son album précédent, au Cabaret, ce fut bien. Ayant reçu une paire de billets pour son spectacle Nucléaire dans le cadre de Montréal En Lumière, je ne vois pas pourquoi je n’irais pas. Je suis quand même une pute de lancement*, expression que j’affectionne et que je crois applicable dans ce cas ci.

J’arrive dans le Spectrum et après quelques minutes je réalise que le gars tout seul sur la scène qui oscille entre son piano et sa guitare est Damien Robitaille. Un espèce de faux-pseudo-arriéré-mental franco Ontarien dont je ne suis pas sûr encore si j’aime ou pas. C’est rigolos, mais sans plus et surtout pas trop longtemps dans le cadre d’un spectacle rock.

Pour aider à faire passer ça; direction bar où le choix est exécrable; d’la Molson Dry ou d’la Ex et pour être exotique de la Corona et je ne sais plus trop laquelle des bouteilles vertes. On va faire avec en prenant une rasade de Dry qui laisse un arrière goût douteux en bouche. Après une couple, ça devrait pus trop déranger.

À l’entracte je tombe sur ma petite sœur, elle est en compagnie du coup de cœur du dernier concert de Malajube justement, La Valérie. Miss J-K est fort agréable et on déblatère sur les vraies choses du rock. Elle nous apprend que Murray en ermite de studio qu’il est, commence à avoir les cheveux forts longs et ça ne produit pas l’effet d’une belle boule micro, mais bien d’une coupe Longueuil bouclante.

Perreau arrive sur scène après un thème musical d’entré désagréable. Je m’approche à une distance respectable du stage, c’est à dire pour avoir un speaker qui me défonce l’oreille gauche. Bien évidement les chansons qui viennent le plus me chercher et que je trouve bien sont celle que je connais. De Nucléaire : Guerrière, La vie n’est pas qu’une salope, Triste poupée et de Western Romance : Fille d’automne, Ma dope à moi, L’amour est une bombe et On m’a oublié de Richard Desjardins. Les autres prestations sont bien et Perreau à une bonne présence sur scène. Surtotu lorsqu’il fait ce que j’Appelle la danse du primate moderne. Il nous entretien de chose et d’autre entre ses chanson et fait même venir un ti-gars (cue toute les filles qui font oooooooooooooh) qui nous parle d’environnement. C’est gentil, écologiquement engagé, mais ont veut du rock, en tout cas moi j’en veux. Le keyboardiste de Perreau, qui à déjà été dans mon groupe montréalais préféré sans guitare, est nul autre que l’efficace Alex McMahon. Mais le spectacle ne se passait pas seulement sur scène, pas trop loin à ma droite, il y avait un beau spécimen de femme qui se déhanchais fort efficacement, assez pour me faire oublier la chemise psychédélique de Yann et m’intéressé à sa camisole blanche à elle. Comme mise en scène, on a eu droit à une fille en bicyclette qui pédalait en arrière plan et des éclairages forts appropriés. Surtout durant l’amour est une bombe, il découpait l’espace comme des projectiles. À la fin on se serait cru dans une discothèque allemande avec le mur de brique éclairé au fond de la scène, les néons rouges au plafond qui nous donnais l’impression d’être dans un four, le beat électro et le chants de Perreau qu’on ne distinguait plus vraiment et qui passait vaguement pour de l’allemand à mes oreilles alcoolisés.

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*Expression que j’emprunte à ses demoiselles, qui je crois en sont les auteures.

vendredi, février 17, 2006

Islands @ Club Lambi

Islands | Subtitle | Noah23 + Madadam
Vendredi 17 février 2006 | Club Lambi

J’arrive pour la fin du set de Noah23 + Madadam, à ma grande surprise c’est deux MC et un dj qui s’active sur la scène. Du Hip-hop comme ouverture de Islands? Ah bon. J’aime bien ce genre musical ou les guitares n’existent pas et j’étais content de voir un mélange des styles. Pour ce que j’ai réussi à voir, ce duo est fort sympathique et leur flow est très bon sur les gros beats phat. En deuxième partie un autre MC; Subtitle, seul avec son laptop. Je fus moins impressionné, son flow laissait un peu à désirer. Mais l’américain (L.A. reprezent) s’en sortait bien avec ses interventions entre les chansons, qui était plus intéressantes.

Islands, composé de 7 musiciens, finit par monter sur le stage, tout de blanc vêtu, et nous livrer une bonne prestation. Je ne les connaissais pas tant que ça, ni les Unicorns d’ailleurs, si ce n’est que pour une poigné de chansons. Leur musique me rend joyeux, moi le bourru (c’est temps ci) que je suis. C’est un rock léger indescriptible et coloré remplis d’instrument amusant comme la flute à bec et autres instrument à vent, du violons, du clavier et les élément traditionnel du groupe rock. Par quelques interventions du leader Nick Diamonds on sentait, parfois, une certaine tension au sein du groupe. Bref le lancement de cet album; Return to the Sea fut une belle réussite.

Je me dois de faire quelques remarques sur la salle, que j’aime beaucoup. Le Club Lambi est comme une mauvaise salle de réception de mariage au décors ultra kitsch. Il y a même des espèces de boules disco/stroboscope multicolores, qui lorsqu’elles sont en marche éclairaient épileptiquement tout ces hipsters parfois trop occupé à jaser. Le système de son est fort, très fort, et c’est tant mieux. La sonorisation ne m’a pas déçu ce qui est souvent les cas habituellement, tout est bien perceptible et pour une fois la voix est pas enterré dans le mix. Le stage est bas, à peine un pied de haut, c’est intime, on se sent plus prêt des musiciens, mais désagréable lorsqu’il y à un géant devant toi. De plus se faire servir sa bière par un souriante et souvent sur les hautes Giselle Numba One est toujours un plaisir en soi.

jeudi, février 16, 2006

Des Singes En Artique?



J'ai cèdé à toute la hype et je me suis procurer Whatever People Say I Am, That's What I'm Not, le nouvel et premier album des Arctic Monkeys. Ils sont les encore-nouveau-sauveur-du-rock-britanique. On verra ce que ça donne, je suis confiant malgré tout. De plus ils sont bientôt ici en concert dans une salle respectable. J'irai y prendre une bière probablement.

mardi, février 14, 2006

Malajube @ La Tulipe

Malajube
Mardi 14 février 2006 | La Tulipe

Tout comme l’an passé, Malajube nous refait un show à la fête des amoureux. Sauf que cette fois çi, ils sont seul, comme des grands et en profite pour lancer leur deuxième album; Trompe L’œil.

La Tulipe est bien pleine, sold out. Ce qui n’a pas empêcher un de mes ami à se trouver un ticket (à prix plus qu’abordable) 5 minutes avant le début du show. En vrai rocker que je suis, les tables c’est pour les mononcles, je m’installe à l’avant sur le plancher de danse avec des amis. Pinte à la main.

Les gars, Julien, Francis, Thomas et Mathieu, que l’on considère pratiquement comme des amis même si on les connais pas, arrivent sur scène au grand plaisir de l’assisstance. Ils sont accompagé d’un cinquième membre (permanent?) et nous décharge leur rock efficace sur le visage. Pratiquement tout le nouvel album, ainsi que les ‘classiques’ du Compte Complet y passeront. Le groupe est en forme, malgré qu’il semble un peu trop stiff, trop corporate. Peut être est ce l’événemant, la grande scène même, qui les rend comme ça. On les a déjà vu beaucoup plus déjanté. On a aussi eu droit à quelques artistes surprises; une viloniste et une contrebassiste, Pierre Lapointe est venu se dandiner sur Montreal -40˚c et, coup de cœur; la belle Valerie Jodoin-Keaton (The Dears) est venu avec sa flute traversière et est rester longuement pour appuyer vocalement les gars. J’ai trouvé l’éclairage particulièrement réussi et lorsqu’il était pointé sur nous, nos rétines fondaient.

A defaut de nous lancer leur disque, ils nous ont littéralement lancer toute sorte de friandises. Recevoir un barre de chocolat sur la gueule, sa surprend! Sans être grandiose, trop de hype autour du band et donc d’attente pour le plusse-meilleur-groupe-rock-francophone-du-Québec, le spectacle fut une réussite.

Côté fausse note. À La Tulipe, je veux pas dénigrer le travail des barmaids et serveurs, mais criss que c’est long (genre plusieurs chansons passent) et pénible aller se chercher une bière quand cet endroit est surpeuplé. Côté découverte, le drunken Hip Hopeux à concocté une manière d’amener sa pinte d’un point A (le bar) à un point B (devant le stage) en passant sans trop de difficulté dans la masse et sans renversé, ou se faire renversé, le contenu du divin liquide. Secret mieux garder que la Caramilk.

L’After party à la Sala Rosa, où c’est rassemblé, le gratin des scenesters rock de Montréal était correct. Quelques bières, conversations, bonne musique rock du dj Jean-Philippe (Le Nombre) et hop je décrisse, satisfait.

samedi, février 11, 2006

Pony Up @ Main Hall

Pony Up | Spiral Beach | Telefauna
Samedi 11 février 2006 | Main Hall

J’ai toujours eu un faible pour le band de filles. Une fille avec une basse dans les mains, je craque. Ça tombais bien, les Pony Up sont un groupe exclusivement féminin, qui ont souvent été la cible de mauvaises langues, que ce soit justifié ou non.

Pour cette soirée à thématique de Sein-Valentin, une certaine Nurse Betty officiait à titre de MC et ses interventions en franglais étaient amusantes. Après nous avoir promis toute la soirée de nous montrer son cul, elle s’exécuta. Rien de bien impressionnant, mais je connais un drunken hip-hopeux qui aurait apprécié ses aisselles velues. Du côté de la kissing booth c’étais beaucoup plus intéressant visuellement alors qu’une belle brune perturbante et perturbée s’occupait de l’entreprise avec sa croquable collègue. Elles nous ont d’ailleurs démontré leurs talents, ainsi que plusieurs personnes dans la salle, à tour de rôle sur le stage pendant un entracte.

Bon, le but de la soirée était quand même de voir des bands et il y en à eu. D’abord Telefauna que je ne connaissais que de nom. Je ne fus pas tellement impressionné par ce petit band qui est tout de même agréable. De plus pour l’électro drunk caché en moi, de voir un keyboard devant chaque membres était plaisant. S’en suivit Spiral Beach qui me plaisait plus, en grande partie grâce à la voix de la rousse chanteuse. Des points en moins pour l’étrange bassiste et son accoutrement de troubadour.

Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu les filles de Pony Up en concert, ni même écouter leur matériel. Je ne connaissais aucune des chansons, elles ont un nouvel album qui s’en vient bientôt. Je crois qu’elles se sont amélioré musicalement, ont ne peut plus leur reprocher de ne pas savoir jouer. Ce ne sont pas des virtuoses certes, mais elles se débrouillent bien. J’ai pu constater que Sarah, la guitariste, à une présence grandissante dans le département du chant. La performance était bien, malgré qu’elles ne sont pas particulièrement très ‘présente’ sur scène. Si ce n’est que de la nouvelle coupe de cheveu asymétrique de Lisa, la bassiste. Belle soirée, pas si mal, pour une gang de coiffeuse.

Bien sûr, les bières ont bien descendue toute la soirée. Question de se faire un bon fond avant d’aller terminer le tout dans un bar au nom d’une pierre précieuse bleue.

Electric Six @ Petit Café Campus



Electric Six | Rock Kills Kid | Creature
Vendredi 10 février 2006 | Petit Café Campus

En entrant je me dirige immédiatement vers le bar. Malgré une sélection potable sur le menu, seulement les produits Molson sont à l’honneur ce soir. Une Bleue dry, ça fera l’affaire.

Creature arrive sur scène, ils ont un look d’armée. Quoi? Je suis pas sûr de leur musique non plus. Leur chanson sur les break up est bien, le flow hip-hopien du chanteur est amusant, les moves étranges de la bassiste qui kung fu kick partout sont déconcertant. Mention spéciale à la camisole blanche de la keybordiste qui se déhanchait sans cesse, c’était beaucoup mieux que sa voix. Ils ont commencer à décoller vraiment vers la fin, mais il était trop tard. Somme toute j’ai bien aimé 3 chansons.

Pour Rock Kills Kid, je ne les ai pas vu, ni même vraiment entendu. J’étais trop occupé avec une de mes ex-collègue à jaser et à me faire payer de la bière sur le bras de son chum, représentant de Sony. Quand à moi j’aurai préféré que le groupe electro-goth-rock, She Wants Revenge, initialement prévu soit de la parie, j’aurais été beaucoup plus intéressé.

Enfin le moment attendu arriva; Detroit Rock City était dans la place. Electric Six entamais leur set avec ma chanson préférée Synthesizer. Good start. Dick Valentine et compagnie était en forme et en style, surtout le guitariste Johnny Na$hinal qui arborai un suit blanc impeccable. Qu’elle classe. La soirée fut chaude et moi chaud. Il eu effectivement une Dance Epidemic, je pouvais pas arrêter de me shaker et taper du pied. Il y avait une blondasse qui arrêtait pas de crier Gay Bar entre chaque toune, j’ai été obligé de lui dire qu’ils l’ont déjà joué, alors qu’elle était devant moi pendant ladite prestation! Après avoir enlever son chandail pour le plaisir de ses dames, Dick Valentime entamma Jimmy Carter, seul, les pantalon aux chevilles. Amusant Pour un groupe que je conaissai peu, si ce n’est que de leur avertisant Danger! High Voltage, ce fut fort résussi, malgrés un Petit Campus loins d’être plein.

mardi, février 07, 2006

Numba one

Here, you should learn to love & hate the drunk rocker, the dark guy that always stands behind you in crowded venues, grabbing your ass all the while holding his beer, and breathing down your neck with his alcohol-perfumed whisper...