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vendredi, mars 31, 2006

Lederhosen Lucil : A Night Aquatic @ Club Lambi

Lucille | Dandi Wind | The Friendly Rich and the Lollipop People | Famulous
Vendredi 31 mars 2006 | Club Lambi
A Night Aquatic
Lucille - ticket
Avec les copains, en début de soirée, on se fait un bon fond de blanche. Au Lambi, une brune nous servira des rousses parce qu’il ne reste plus de blondes. Les rouquines se succéderont à un rythme BrutaLLL.
Famulous
Miss Vilaine et Mister Rokoko entre en scène drapé de brun orangé. Ils s’en découvriront assez tôt pour mieux débiter leurs vulgarités dans des costumes que Prince ne renierait pas. Malheureusement, je ne perçois pas toute les paroles clairement, surtout pendant la chanson susurré sensuellement par la vilaine, mais il est question, à quelque part, de lécher l’anus d’un caniche. Charmant! La foule semble bien apprécier et on sent déjà un fan club qui se trame derrière se duo. Il sera probalement mené par un géant nommé FX, à qui d'ailleur le duo à rendu hommage dans une de leur pièce. Pour une première prestation publique, c'est assez réussi, malgré qu'une certaine gêne semblais étre présente, particulièrement du côté de l'homme à l'afro. Famulous me fait étrangement penser, pour l'ensemble de leur oeuvre, à Avenue D. Prestation courte de quatre chansons, rhymées par dessus un beat électronique pré-enregistré; nice and sweet.

Friendy Rich et sa ribambelle des Lollipop People envahissent le stage. Y’a du monde à messe; guitares, harpe, instruments à vent, accordéon, clavecin et trucs muches divers. Jolie panoplie. Notre homme se démène dans l'eau bénite, tel un Bela Lugosi et sa pieuvre dans un film de Ed Wood. Je finis par me lasser assez vite de ce pseudo Tom Waits qui chante devant une foule assise en indiens. Ça permet de bien voir, debout à l’arrière, surtout en cette soirée peuplé de géants.

Peu importe ma danseuse frénétique préféré arrive sur le stage, toujours accompagné de son acolyte Szan et de leur récente acquisition, un batteur. Cris primaire d’une chanteuse déchaînée, comme toujours, qui court partout, se pitche dans la foule, le bodysurfing c’est amusant vous savez. Il va falloir lui dire de faire attention où elle grimpe pour pas qu’elle se blesse. Tu sais, au plafond il y à des ventilateurs chère. Définitivement pas une safety dance. Musicalement leur électro-rock-noize est décapant, mais un peu redondant. D’ailleurs le pop corn sonore bénéficiait de déficience technique franchement agressante pour l’oreille. Peu importe, Dandelion fait toujours bonne impression, mais comment fait-t’elle pour être si menue et déplacer autant d’air? Mystère.
Lucille
On termine la soirée avec Lederhosen Lucil, notre hôte ce soir, qui laisse graduellement la place à Lucille. Krista Muir se défait de ses tresses blondes et de son faux accent tyrolien pour assumer pleinement sont propre rôle. Musicalement c’est assez semblable, peut être un peu plus mature, forcément. Lucil est morte (?), vive Lucille. Mais en espérant qu’elle nous ressortira son charmant alter ego de temps en temps. Q'importe, je la suivrai où son keyboard la mênera. Encore un fois j’ai oublié de me procurer son livre au profit de voyage, trop constant, au bar.

Images de chez plus trop où par .

dimanche, mars 19, 2006

Art Matters @ Théâtre Plaza

Bionic | The Adam Brown | The Sunday Sinners | The Captains
Dimanche 19 mars 2006 | Théâtre Plaza

Le party de clôture du Art Matters de Concordia s’avère pas mal plus rock que son ouverture. Dans un endroit plus acceptable, mais le son sera pas top notch ce soir. J’aurais du m’en douter lorsque dès le début, le soundman, à de la misère à faire jouer le putain de cd pour le spectacle de danse. Ben oui, encore une fois un show de danse avant le band. Redondant. The Captain monte en scène, tous habillé comme des espèces de militaire. Ils rock assez, sans se démarquer. De plus pour un opening band, le chanteur fait beaucoup trop d’interventions. J’accroche sur quelques tounes, dont plusieurs covers.
The Sunday Sinners
Ensuite les Sundays Sinners débarque sur scène pour nous assener des grands coups de rock n’ soul. C’est le moment d’avancer vers le stage. Jenna Rock à vraiment une voix fascinante, aussi étincelante que ses bottes blanches éclatante. Leur truc fait un peu vieillot, un peu rétro, un peu garage et c’est très bien. Le farfisa est vraiment envoutant. Les filles, et le (lucky) dude, s’en tire très bien mais elles n’ont pas vraiment de présence sur scène, à la limite ont dirait qu’elles s’emmerdent. Je ne connais pas vraiment leur répertoire mais j’apprécie beaucoup, tout comme tout le monde qui se shake au son de la musique.
The Adam Brown
The Adam Brown montent sur scène et détruisent tout en quelques secondes. Bon Dieu que ce band à de la présence; born to be on stage. Dès la première chanson les guitares sont portées à bout de bras, ça se jette partout, ça interagis avec la foule et ce manège ne dérougiras pas avant la dernière note. Le grand Adam Brown, guitariste/chanteur, à beaucoup de charisme, Shawn Petsche joue le guitare héros de façon convaincante, Johnny Five tient bien le rythme et le drummer, remplaçant ce soir fait un travail plus qu’exemplaire. Marc-André Grondin était trop occupé à remporter le Jutra du meilleur acteur ce soir là et c’est tant mieux. Leur rock entrainant fait que le dance floor se démène et s’occupe des tambourines que Adam fait passer à la foule. Cependant Adam, ce n’est pas des hippies qu’il faut faire monter sur scène pour danser, mais des groupies et il y avait des morceaux de choix au alentour. Franchement! Les tounes s’enchainent efficacement et les déjà classique Give Back My Heart et Hungry Thisrty For You font heureusement partie du lot. Les gars nous finisse ça avec tout le groupe dans la foule, sauf le drummer, bien évidemment, rock star style.

Ensuite vient Bionic. C’est lourd et pesant, métalleux presque. Les gars ne déménagent pas, ils détruisent les meubles. Ça fait longtemps que je veux les voir, mais je dois malheureusement partir après deux chansons, maudit métro, les dimanches. Ce n’est que partie remise pour le band du monsieur avec la barbe rousse.

Pixs piqués à Pppam.

samedi, mars 18, 2006

The Call Up @ Playhouse

The Call Up | Final Flash | Dj Plastic Patrik
Samedi 18 mars 2006 | Playhouse
Scandal Scout
Débute la soirée avec la ferme intention de se déchirer la gueule avec mes potes Mikael et Lucas. On n’est même pas arrivé à destination qu’on à déjà un bon fond. On rentre dans la place sans nécessairement avoir comme intention première de voir des bands, mais ça fera un background sonore acceptable pour notre soirée. Le Playhouse est sans contrefaçon un ancien bar de danseuses, pas de doute la dessus, un peu plus et la pôle est encore sur le ‘stage’. Au fond avant la toilette, trone de gracieuse machine à sous. L’endroit est crade et c’est tant mieux, la serveuse gargantuesque.

Ce soir est sous la tutelle des Scandal Scouts, qui semble être des jeunes femmes habillé pas vraiment en scout, mais plus sexy que les jeannettes de mon temps. Elles sont essentiellement en one-piece American Apparel, short-shorts et des bas collants. Pas désagréable au regard, dépendamment laquelles ont regarde.

Bien évidemment les pichets se succèdes plus vite que les bands. Le rock de Final Flash et The Call Up est vraiment qu’une bande sonore de ma soirée et je regarde nonchalamment le show qui est quand même agréable. Proximité avec le band, ils sont à notre hauteur et vu l’agencement de la pièce, pas très grande et du public, pas très nombreux, aucun problème pour bien voir de prêt les rockers. Merde, stie que je n’ai pas vraiment grand choses à dire sur les band. Sorry. But drunk as a rock, pour de vrai
Final Flash
The Call Up
Photos: Maude.

jeudi, mars 09, 2006

The Subways @ La Sala Rossa

The Subways | The Shys | Code Pie
Jeudi 09 mars 2006 | La Sala Rossa

Encore un des nouveaux bands super hypé de l’Angleterre qui se pointe à Montréal. J’ai pu écouter leurs premier et seul album; Young For Eternity cette semaine et j’ai bien aimé. Paraît-il qu’il déménage en spectacle. Je prends donc le métro pour aller voir The Subways. J’arrive devant la Sala où le plus gigantesque des tour bus est stationné. Cela aurai du me donner la puce à l’oreille sur leur statut ou leur popularité. Le show sera sold out.

Très vite un étrange sentiment m’emporte, le public est étrangement différent de ce que j’ai l’habitude de voir. Alors que The Shys monte sur scène, je comprends. Des ‘jeunes’, probablement pas tous majeur, des filles en fleurs qui crient à tout rompre à chaque move du chanteur, des gars déjà trop saouls après 2 bières, toute la foule devant le stage qui fait le pogo, bras en l’air et autres comportement typique de monde qui semble ne jamais avoir vu de shows de leur vie. The Shys est excessivement générique et leur rock est pas mal pop. En plus ils réussissent à m’écoeurer en disant 31 fois –‘We love you Montreal’ et 46 fois ‘You’re all beautiful’ et 21 fois –‘This is the best place i’ve ever been’ et autres niaiseries du genre sans cesse. Vite au bar pour me mettre dans un meilleur mood.
The Subways
Finalement, faisant fit, de ce qui m’entoure je m’avance à l’avant pour mieux voir d’autre jeunes monter sur les planches. C’est que les frères Josh Morgan (drums) et Billy Lunn (guitare/voix) ainsi que sa blonde Charlotte Cooper (basse/voix) ont à peine 20 ans eux aussi. Ça commence fort, ils sont excessivement énergique et leur rock virent dans le punk et sera à l’image de celui si; court et abrasif. Ils seront seulement une quarantaine de minutes sur scène et réussiront à me conquérir. J’aime bien les trios et celui ci est efficace et est composé des bons ingrédients. Un batteur précis en torse, un chanteur assez charismatique qui monte, sans cesse, sur les speakers et le bass drum et une bassiste toute menue (son instrument doit bien peser 20 livres de plus qu’elle) en jupe qui se pitch partout. Leur setlist coule bien et pas mal tout l’album y passe. J’ai particulièrement apprécié la pièce I Want To Hear What You Have Got To Say et Oh Yeah qui sont bien rendu live. D’ailleurs dans l’ensemble il me semble assez mature musicalement pour un si jeune groupe et leur référence musicale tendent vers du rock plus olds school, assez cru, assez sale. Ils quittent la scène après une intense prestation pour nous revenir avec Rock & Roll Queen (une autre de mes préférés) comme unique rappel.

C’est sûrement une des dernière fois que je les vois dans ce contexte, ils rempliront facilement des grandes salles car malgré leur punk-rock abrasif ils ont une certaine touche pop qui plaira sûrement aux masses. On les reverra sûrement des plusieurs mois dans une salle tels le club soda ou le Métropolis même, qui sais, mais j’y serais probablement pas, trop de fillettes qui écoute Plus sur commande à Musique plus.

vendredi, mars 03, 2006

Art Matters @ Bain Mathieu

Dandi Wind | The World Provider | The Diamond Dogs | Ghetto Pony
Vendredi 03 mars 2006 | Bain Mathieu

C’est rare qu’il y a des shows dans mon coin, alors quand c’est gratuit et que la reine de la danse frénétique va y être, why the fuck not. Art Matters de l'université Concordia organisait son ‘opening party’ (et ne manquez pas le closing party qui promet encore plus) au Bain Mathieu à une dizaine de minute de marche de chez nous je m’y dirigeai sans me faire attendre de plus que j’avais rien de mieux à faire ce vendredi là.

Le bain Mathieu est en gros une grosse piscine ou le stage est dans la section ‘pas creux’ et le reste est un espace jusqu’au bar dans la section’12 pieds de profond’, genre. Dès le début, et c’étais à prévoir le son était douteux, écho, et la disposition plus que discutable des speakers n’aidait pas la cause.

Le premier band ne me fit pas grand effet. Un trio guitare/basse/machine qui donnait dans un rock expérimentaleux. La pseudo-punk à côté de moi me glissa le commentaire que c’étais trop genre Radiohead. Je doute qu’elle connaissait beaucoup Radiohead, mais moi non plus alors gardons ça comme référence, sûrement erronée.

Il est à noter que les ‘artistes’ se laissait aller. Il y avait une couple de danseuses môdernes arborant le tutu, qui se laissait aller devant le stage pendant tout les sets. Boring!

Ensuite les Diamond Dogs débuta leur set avec Diamond Dogs suivit d’une pléiades de hits de David Bowie. Le groupe était composé de 7 membre tous accoutré de costumes rappelant l’époque Ziggy Stardust. Tous les classiques de mise ont été joués. Le chanteur semblais être assez convainquant mais vu l’atrocité du son je ne peux vraiment me prononcer. Malgré tout, un band de covers ne reste qu’une pale copie d’un original souvent fort respectable et donc inatteignable. Mais bon c’est agréable d’entendre des chansons d’un grand.

La soirée avançait bien, le bar était à court de blonde, se rabattre sur de la Dry ou de la Coors était plutôt décevant. The World Provider embarquais sur scène. Un chanteur moustachu, filles, tout vêtus d’un costume gold. Ayant rencontré un ancien collègue, fortement éméché, je n’étais pas complètement attentif. Donc je me rappelle seulement que c’étais plutôt bien.

Pour finir la soirée en beauté, Dandi Wind se jette à l’eau de cette piscine vide. La foule se massa à l’avant du stage et enfin les danseuses arrêtèrent leur cirque, de toute façon elles n’étaient pas de taille face à Dandelion. Un nouvel ajout au duo; un batteur, moustachu de surcroit, qui s’avère un plus pour leur son un peu trop synthétique. Dandelion, maquillé de bleu, porte un autre de ses accoutrement; une espèce de maillot de bain bleu en écaille avec un imprimé de chat et un éclair, des pantalon psychédélique multicolore fluo qui ferait mal au années quatre-vingt. Comme à l’habitude elle à plus d’énergie qu’un hyperactif sur la coke et gambade/saute non stop d’un bout à l’autre de la scène. J’ose même pas imaginer de quoi elle doit avoir l’air dans un lit, déchaînée. Comme toujours leur gros electro-rock, avec du pseudo-gueulage de la miss en guise de chant, ce qui n’est tout de même pas désagréable, est très efficace. Même très animal, tous comme la soirée. Pour la voir en action c'est ici.

jeudi, mars 02, 2006

Pornorobo @ L'Escogriffe

Pornorobo | Les Temps Liquides | Pandemia
Jeudi 02 mars 2006 | L'Escogriffe

J’allais dans ce petit, donc facilement trop plein, bar qu’est l’Escogriffe pour voir le lancement de l’album d’une connaissance.

Le premier band, Pandemia, est un trio habillé dans des suits de peintre blanc de la tête au pied, capuchon inclus. Le guitariste chanteur avait les yeux en sang, littéralement, le bassiste arrêtais pas de prêcher des insanités, en anglais, trop fort, entre les tounes et le drummer était vraiment bon et impressionnant par sa maitrise du battage de peaux. Bref passons.
Les Temps Liquides
Viens ensuite le band tant attendu, on sent que l’audience est peuplée de fans. LTL sont composé de Frank Liquide à la guitare (à temps partiel) et la voix, d’un bassiste, du gars de Monsieur Toad au keyboard/machine et pour gagner des points, une jeune femme sympathique au minuscule clavier Casio. Avant de débuter le show elle nous implore de pas accrocher son rack (non pas celui là) qui est en position précaire sur cette scène trop près d’une foule déjà endiablé. Le groupe débute, en force, avec une version instrumentale de Pretty In Pink, à mon grand plaisir. Ils continueront d’escalader l’échelle d’ivresse musicale, tout comme moi qui enfile les pintes de blanche. Leur rock à saveur électronique est loin d’être léché, et c’est tant mieux. N’oublions pas que le titre du long jeu est Le truc c’est de faire tout à la botch. J’aime bien la chanson qui faisait référence à se faire péter la gueule (autobiographique?) et Les Temps Liquide S’en Vont En Guerre (la guerre au bon goût?). Frank réussi à me surprendre par son intensité, sa fausse moustache et ses pas de danse inqualifiable. Il méritait bien les bobettes et fleurs que lui lançaient des jeunes filles en fleurs.
Pornorobo
Pornorobo, un trio électro-punk-rock, meuble excessivement bien la trame sonore de ma fin de soirée à boire avec les copains en délirant. Je ne portais pas excessivement attention mais le groupe de Nick Jagger s’en donnais à coeur joie dans leur délire et du tape électrique de couleur sur leurs vêtements, very asymétrique.

Pix, gracieuseté de l'amie Gab.

mercredi, mars 01, 2006

Thanks For The Adds, A Night For Claudia @ Club Lambi

Sailor White
Mercredi 01 mars 2006 | Club Lambi

C'est Pay what you can; me sentant cheap, 3$ va faire l’affaire. J’entre dans un Lambi pathétiquement vide de monde, pourtant il est quand même passé 23h30. Bon c’est supposément un after party, alors j’imagine que ça commence encore plus tard que d’habitude. Profitons en pour se prendre quelques blondes, toujours servie par la délicieuse Giselle (je pense que je commence à faire une fixation). Après quelques canapés, un passage au toilette à pisser devant une affreuse affiche, dans mon ébriété grandissante je réalise que c’est la soirée Thanks for the add… A night for Claudia. Soirée mystérieuse engendré par un site tout aussi douteux où tout le monde peut avoir son espace. Le show commence, finalement. Sailor White se veut être Crawdaddy Simon (mieux connu comme dj) à la voix et guitare acoustique, accompagé par Shawn Petsche, guitariste des Adam Brown (le groupe qui fesait que je me déplacais dans cet endroit). Il(s) donne(nt) dans un genre chansonier-rock-folk-coutry, très générique et je n’embarque pas vraiment, probablement à cause de pleins de facteurs extérieurs. Après un set relativement court le monsieur en tight pants blanc, qui en a surement émoustillé plus d’une, descend du stage et le dj Andrew Rose s’affaire aux platines. C’est terminé et ça semble être tout. Les Ivory Temple, The Adam Brown, Th’Corn Gangg et Emily Haines promis ne se présenteront pas, du moins, du temps que j’étais dans la place. J’avais trop de high expectations. Je pars, déçu, non pas sans faire un arrêt pour une denière bière au Korova. Place tout aussi vide, mais étrangement plus agréable; Johnson Cumming au platine nous balance du bon rock tandis qu’on peut voir les fresques de Turbonegro projeter contre le mur.

Jérome Minière @ La Sala Rossa

Jérôme Minière | Plaster
Mercredi 01 Mars 2006 | La Sala Rossa

On cherchait un bar pour passer le temps avant le show. Un truck de Radio-Can de parké devant la Sala, la belle danseuse se rappelle du show gratuit, pour la radio, qui s’y passe. On entre et j’y prendrait deux bière sous l’électro-jazz de Plaster qui est déjà en branle à notre entrée dans la place, pas mal pleine. Plaster , c’est trois musicien extrêmement tight, à chaque fois que je les voit, ils le confirme. Ce soir encore, la prestation est solide, dansante à souhait. Alex McNahon arrête pas de faire des interventions ridicules en anglais entre les chansons, toute instrumentales. Le drummer est particulièrement impressionnant dans sa technique et martèle le rythme efficacement. On quitte après la prestation vers les 23h15, on reste pas pour Minière, on à un autre show qui nous attend.