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mardi, février 14, 2006

Malajube @ La Tulipe

Malajube
Mardi 14 février 2006 | La Tulipe

Tout comme l’an passé, Malajube nous refait un show à la fête des amoureux. Sauf que cette fois çi, ils sont seul, comme des grands et en profite pour lancer leur deuxième album; Trompe L’œil.

La Tulipe est bien pleine, sold out. Ce qui n’a pas empêcher un de mes ami à se trouver un ticket (à prix plus qu’abordable) 5 minutes avant le début du show. En vrai rocker que je suis, les tables c’est pour les mononcles, je m’installe à l’avant sur le plancher de danse avec des amis. Pinte à la main.

Les gars, Julien, Francis, Thomas et Mathieu, que l’on considère pratiquement comme des amis même si on les connais pas, arrivent sur scène au grand plaisir de l’assisstance. Ils sont accompagé d’un cinquième membre (permanent?) et nous décharge leur rock efficace sur le visage. Pratiquement tout le nouvel album, ainsi que les ‘classiques’ du Compte Complet y passeront. Le groupe est en forme, malgré qu’il semble un peu trop stiff, trop corporate. Peut être est ce l’événemant, la grande scène même, qui les rend comme ça. On les a déjà vu beaucoup plus déjanté. On a aussi eu droit à quelques artistes surprises; une viloniste et une contrebassiste, Pierre Lapointe est venu se dandiner sur Montreal -40˚c et, coup de cœur; la belle Valerie Jodoin-Keaton (The Dears) est venu avec sa flute traversière et est rester longuement pour appuyer vocalement les gars. J’ai trouvé l’éclairage particulièrement réussi et lorsqu’il était pointé sur nous, nos rétines fondaient.

A defaut de nous lancer leur disque, ils nous ont littéralement lancer toute sorte de friandises. Recevoir un barre de chocolat sur la gueule, sa surprend! Sans être grandiose, trop de hype autour du band et donc d’attente pour le plusse-meilleur-groupe-rock-francophone-du-Québec, le spectacle fut une réussite.

Côté fausse note. À La Tulipe, je veux pas dénigrer le travail des barmaids et serveurs, mais criss que c’est long (genre plusieurs chansons passent) et pénible aller se chercher une bière quand cet endroit est surpeuplé. Côté découverte, le drunken Hip Hopeux à concocté une manière d’amener sa pinte d’un point A (le bar) à un point B (devant le stage) en passant sans trop de difficulté dans la masse et sans renversé, ou se faire renversé, le contenu du divin liquide. Secret mieux garder que la Caramilk.

L’After party à la Sala Rosa, où c’est rassemblé, le gratin des scenesters rock de Montréal était correct. Quelques bières, conversations, bonne musique rock du dj Jean-Philippe (Le Nombre) et hop je décrisse, satisfait.